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Parcours thématique

D’hier à aujourd’hui, découvrez quel regard les sociétés alpines posent sur les dangers naturels et comment elles ont appris à vivre avec ces risques.

L’homme fabrique le risque…

L’homme fabrique le risque et s’en prémunit. Une phrase-choc ? Un constat.
A un moment donné de leur histoire, les sociétés nomment « risque naturel » un phénomène naturel susceptible de mettre en péril leurs activités. Elles prennent des mesures pour réduire ce risque : constructions techniques, mesures de prévoyance, assurances, etc. Il s’agit d’anticiper la catastrophe.

Maîtriser les risques pour conquérir le territoire

A partir du 19e siècle, la notion de risque gagne en importance jusqu’à devenir centrale. Le risque devient un « mal nécessaire » face au développement fulgurant des sociétés humaines, à l’intensification des activités économiques dans des zones exposées, à l’augmentation des activités de loisirs en montagne.
Pour profiter pleinement des avantages offerts par la conquête du territoire, une solution : rendre le risque acceptable, réduire au maximum les conséquences d’un aléa naturel. Les dangers sont mesurés ; des mesures de protection et de prévoyance sont mises en place pour garantir et protéger les intérêts individuels et collectifs.

Dangers naturels et sociétés alpines : hier, aujourd’hui, demain

La notion de « risque » dit beaucoup de nous-mêmes, de notre culture, de notre manière de penser notre rapport au monde et à l’environnement.
Dans le cadre du projet RISK, les institutions patrimoniales du Service de la culture du canton du Valais (Archives de l’Etat, Médiathèque Valais, Musées cantonaux) vous invitent à explorer les relations que les sociétés alpines entretiennent avec les dangers naturels, hier, aujourd’hui… et demain.

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